La critique de la Cour suprême sur les délais d’assentiment présidentiel et gouverneur a été vigoureusement contestée par le Centre, le qualifiant d’infraction inconstitutionnelle aux pouvoirs de ces hautes fonctions. Le gouvernement soutient que l’examen judiciaire des procédures d’assentiment pourrait déstabiliser l’équilibre des pouvoirs entre le législatif, l’exécutif et le judiciaire. En argumentant contre l’ingérence de la Cour suprême dans les délais d’assentiment, le Centre a mis en garde contre une potentielle instabilité constitutionnelle et une hiérarchisation institutionnelle qui perturberait l’équilibre constitutionnel des pouvoirs entre les trois organes.